Dans "en savoir plus", je raconte les "dessous"...


A suivre !

En passant…

Je voulais juste remettre l’encyclopédie en ligne et puis, éventuellement, refaire un petit potager dans la serre de mes parents. Mais çà je n’y pensais même pas il y a deux mois.
Et puis ce virus est arrivé.
Et puis les hommes ont commencé a perdre la tête.

Le grand changement a commencé à opérer. La nouvelle ère… R-ÉVOLUTION… AVI

La coincïdence ultime. Le croisement entre générations, entre modes de vies, entre manières de pensées, de voir les choses…

Il y a tellement de choses à dire sur le sujet ! Qu’on s’y perd…

Je ne peux plus me permettre de continuer d’écrire comme avant. J’y passerais tout mon temps et çà ne servirait pas à grand chose. Pourtant, l’Homme a plus que jamais besoin de points de repères… Un point de repère solide… Un point d’ancrage.

J’ai toujours ce mot “AVI” en tête mais je préfère éviter de m’en servir, parce qu’il coïncide parfaitement. C’est très paradoxal mais l’esprit fonctionne ainsi. Je l’ai déjà expliqué dans au moins un de mes anciens textes. Ce point de repère/ancrage, je dois lui redonner une autre forme, beaucoup plus concrète : le Potager de mes/nos Rêves. Et puis le terralisme.

Ce que je retiens aujourd’hui c’est qu’on ne sait pas, vraiment, concrètement, à quoi on a (eu ?!) affaire ni, donc, si çà se termine. Je suis me dis (et çà a dû traversé l’esprit de tout le monde) que, çà y est, le monde devenait complètement fou, pour baliser à ce point en découvrant une forme de rhume un peu plus agressive.
Puis, naturellement, je me suis dit aussi qu’il ne fallait pas penser çà, qu’il y avait une autre explication. Une bien meilleure explication… Qui coïncide avec la plus belle manière de (sa)voir les choses, la Vie…

J’ai écrit ces 3 premières lignes, cette nuit, puis j’ai barré la troisième, pour pouvoir rajouter la quatrième… Et j’ai arrêté, puis repris mes activités. C’est là, ce matin, que j’ai de nouveau pensé à ces 4 lignes et au fait que, non, ce n’était pas le virus le problème, ni la folie humaine. J’ai relativisé. L’Homme n’est pas fou, il ne sait “juste” plus quoi penser. C’est la fracture entre deux mondes. D’un côté on pense s’être relâchés niveau hygiène, médical, faisant place au bio, au naturel… De ce côté on pense que c’est ce qui a entrainé et laissé place à ce virus… Et puis, d’un autre, on pense que ce n’est qu’un petit rhume et que c’est cet excès d’hygiène et de soins pharmaceutiques et parapharmaceutiques, combinés au herbicides, pesticides, en tout genres, et à la pollution, qui a affaibli notre système immunitaire… Et c’est vrai, tout est vrai ! Mais ce n’est pas ce qu’il faut retenir avant tout. Ce qu’il faut retenir avant c’est justement ce paradoxe entre les choses. C’est le fait que deux points de vue différents, et même opposés, contradictoires, peuvent être tout aussi vrais. C’est le contre-paradoxe. Il faut relativiser au maximum, jusqu’à cette loi-même de la relativité. Se dire que tout est à la fois faux et vrai et se focaliser sur ce qui nous rassure le plus. C’est là la meilleure manière de voir les choses. C’est là la plus grande, car belle, vérité. L’absolu(e). Car, si ce monde est “(dé)limité” physiquement, ce n’est pas le cas pour la pensée, l’esprit. Plus c’est immatériel et plus c’est mélangé. C’est d’ailleurs vérifiable du point de vue de la physique puisque que moins la matière est solide, dense, plus elle a tendance à tendre vers un état fluide, puis liquide, puis gazeux…En tout cas dans un même environnement, avec les mêmes facteurs… Bref, dans les même conditions.

Ce que je veux dire par là c’est que, d’un côté ce virus est/était plus dangereux que les précédents et notre système immunitaire affaibli, et/mais, de l’autre, les progrès de la médecine, nos connaissances, notre expérience et notre mentalité a grandement évolué, nous rendant capable de nous auto-immuniser, auto-guérir, sans même y penser, simplement de part le fait d’être rassurés par ces progrès, à l’échelle humaine et à l’échelle personnelle.

D’un côté ce virus est peut-être le pire qu’on n’ait jamais connu mais, de l’autre, on a suffisamment évolué pour ne plus avoir besoin de vaccin(s) puisqu’on sait le produire par nous-mêmes. On sait comment fonctionne un virus, dans un sens comme dans l’autre. Ce qui le rend agressif et ce qui le rend positif, puisque c’est le même principe qui agit, réagit, interagit, en(tre) nous ! De la même manière qu’on peut se calmer soi-même, et même nos entourage, simplement par une pensée positive, simplement par cette relativisation par la gentillesse, la bienveillance, l’amour… On peut modifier n’importe quel virus et d’autant plus celui-ci qui est un type de virus à ARN qui mute donc très facilement.

La grande évolution… De l’Histoire… De l’Histoire de l’Évolution, de l’Histoire de la Vie… De celle des Hommes et de cette Vie, ce monde, en général, est là, bien présente, physiquement, jusque dans ces fragments de gènes, et immatériellement, dans notre psychologie, dans nos pensées, dans notre manière de voir les choses… Cette énergie, ce but, ce qui nous guide, ce qui nous inspire… Ce que j’appelle donc l’AVI.

Il n’est pas question de chance ou malchance. Ceux qui partent sont qui n’arrivent pas à suffisamment “ouvrir leur esprit”. Ce sont ceux qui restent sur des principes qu’ils ont connu depuis toujours et qui ne supportent pas ce changement qui semble, parait, brutal et radical. Ceux sont fragilisés physiquement, d’une part, et ne croient pas/plus suffisamment en la Vie, d’autre part, à un moment où il faudrait, au contraire, redoubler d’espoir, de foi, d’amour et d’envie de vivre ! Ce virus les pousse à changer mais ils s’y refusent, parce que c’est trop peut concevable pour eux. Ils n’y sont pas assez préparés et pensent ne pas pouvoir l’être et/ou devoir l’être. Ils pensent devoir laisser leur place… Ils pensent que leur avenir est ailleurs et/ou qu’un meilleur avenir les attend, plus tard et/ou ailleurs…

Ce n’est ni une fin en soi pour eux, ni pour nous qui restons, c’est un recommencement, un nouveau départ, ici, maintenant, dans ce corps qui fait que nous sommes ce que nous sommes, ou plus tard, ailleurs, dans un autre corps, sous une autre forme.

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